Quand les égoûts débordent !

Publié le par whybec


Un grand coucou à ces co...sses !

Il y a quelques jours, j'ai reçu un mail de « Branchouille », fort pas contente, et avec cette traînée de poussière assez mégalo. Elle pensait « Branchouille », mot coincé dans les deux lignes consacrées à sa personne, parmi un chapitre de trois pages, signifiait qu'elle pouvait « dealer » des services en échange de ses productions ... comme ses fesses ! Grand dieu, je savais que jouer une pièce de théâtre dans une MJC devant le maire de « bouz land » faisait qu'on pouvait se faire enfler « le melon », en espérant une remise de César ... mais là ! Fin bref, ça va un tit peu avec le personnage faut dire : c'est bien, y'a des valeurs qui ne changent pas !

Donc, le truc surtout, c'est qu'il y a une bande de « rincées » de la tête, qui ont certes toujours des choses fort intéressantes à faire, puisque toujours toutes pleines d'énergies à participer à la construction du monde, son grand renouveau, que dis-je, sa « recréation », mais qui cependant, bouffent surtout à la gamelle de la bêtise et du « plein de vide . Et surtout tournent éternellement en rond à la recherche de quelques uns de leurs mets principaux : le voyeurisme et le « mégèring » (vient de « mégère »). Autant de pâté avariée pour gouines de base nouvelle tendance sur le retour. Si j'écris que je ne les aime pas, c'est un bien bas mot ... Si je dis que je les méprise, je me rapprocherai d'avantage de ce que je peux ressentir. Le truc, c'est que cette faune dernier cri hurlant l'air du « renouveau », ressemble fort au « renouveau » Sarkosien, avec son show électoral, où sur la scène se tortillent des vieilles reliques fripées. Le placard du renouveau était en autre représenté par Mireille Mathiew, et autres vieux débris qu'il serait temps de piquer.

Donc, ce réseau de bonnes femmes à la recherche d'occupation, tout simplement, à dû faire passer ce lien à Miss Branchouille, qui n'a pu s'empêcher de me contacter. Ambiance : « mais ciel ! Je ne couche avec personne pour me produire, et au passage, je vais faire tout plein de trucs machins expos dans tous les endroits branchés, c'est forcément que je suis la première merveille du monde ! Et puis moi qui suis tellement pas méchante, qui suit si gentille, et qui n'ait rien à voir avec ce monde de givrées auquel je ne veux surtout pas que l'on m'associe à présent, même si j'ai fait un top de bon ménage il y eut un temps, en leur proposant même à manger sans que je sache tout, en adhérant à leur défense quand elles se sont faites flinguer par une bande d'hystériques forcément mal dans leur peau, comment peux tu penser chose pareille ! » En effet, on se demande ...

C'est vrai, pauvre Branchouille ... durant deux secondes, je me suis demandée si elle n'avait pas une connaissance bien placée dans le futur ministère de la délation. J'ai eu peur, et comme dit Raggalendo (à voir sur MySpace, nanas géniales et qui elles, ne se prennent pas au sérieux !) : « qu'est ce qu'on a eu peur, on a même eu peur d'avoir peur » ! Bref, c'est vrai, c'est vexant de lire ce que j'ai pu écrire à propos de Branchouille, mais Branchouille n'aurait jamais dû lire ce qu'elle a lu !

Alors mesdames les sal....ries, vous qui pratiquez le voyeurisme auprès de gens que vous n'appréciez guère, même s'il s'agit en effet d'un forum public, allez à la piscine, faite du vélo, tchatter donc avec d'autres looses de votre espèce, et laisser donc un peu tranquille les looses de mon espèce. Je crois que les dégâts occasionnés par vos passages n'ont pas de pareil, et qu'il est légitime que l'on souhaite vous tenir à l'écart du monde justement. Certaine(s ?) pourrait et devrait même se trouver en taule à l'heure qu'il est. Et ayez un minimum de considération pour des gens comme Branchouille, même si on parle d'elle quelque part, réfléchissez avec ce qu'il vous reste de cervelle trouée et interrogez-vous sur ce que cela apporte à Branchouille de lire des choses comme ça.

Quant à ce que cela vous apporte à vous... ce que vous êtes est si triste au final ... Ce que j'ai écrit n'avait certes rien de flatteur, mais cela n'avait pas non plus pour but de la blesser. C'était vraiment juste ce que je pense. J'aurai pu écrire les mêmes choses à propos des écrits de l'autre vielle chose qui n'a que trois mots à son vocabulaire, qui oublie qu'elle a passé a ménopause en jouant les branchées attrape minettes, ou bien comme ce que je pense de celle que j'appelle « N'atach'pas », qui a découvert trois filtres de Photoshop et qui ne s'en est toujours pas remise, dépressivo-maladivo qui sent le pas frais, à la recherche éternelle de nouveaux pseudos plus pathétiques qu'originaux, ou bien de l'autre nase, qui elle, n'a vraiment, mais alors rien dans la cervelle, et qui ne fait que répéter la seule leçon qu'elle a cru comprendre dans sa vie : « fidélité, vadé rétro ... aga ! » ... le pire, c'est que ce n'est même pas pour son profit qu'elle récite sa bible, la bave aux commissures des lèvres, l'œil aussi vif qu'un poisson pêché d'une semaine ! Ah pis l'autre grosse débile, bête comme ses pieds, qui ne voit pas que l'on se fout de sa balle, un peu à la Branchouille, qui se prend pour la bédéIste du siècle et une grand « écrivaneuse » ... pourtant réputé chez ses copines pour son style équivalent à un niveau de troisième ... mais avec un égo tellement n'importe quoi que personne n'a jamais osé lui dire, en sachant que pour contenir le pitbull qui sommeil en elle, il suffit de lui lancer trois compliments !

Les mégères n'ont guère plus de considération pour « celles qu'elles aiment bien » que pour elles-mêmes en fait. L'important, c'est de pouvoir placer le « JE » au centre de tout, faire tourner l'info, qu'importe si ça blesse. Les mégères sont au service de la consommation : elles taffent pour leur gueule, avec le grand principe des autres. Mais une fois à table, les autres n'ont d'autre intérêt que ce qu'elles vont pouvoir en bouffer dans l'assiette !

Pour finir, je voulais vous dire que la loose s'en sort plutôt bien dans la vie, sans opportunisme, juste par valeur de ce que je suis, que ce soit dans mon job ou dans mes relations affectives. Mais surtout, je voulais que même si vous n'êtes plus qu'à mes yeux un tas de souvenirs croupissants d'une sale période de ma vie, il est, je constate, inévitable de sentir de temps à autre les odeurs fétides de vos bouches en décomposition.

Alors surtout, je voulais vous dire, puisque vos êtes encore là, que je vous emmerde !

M.

Publié dans Du politique

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