Fatalité ?
Pour reprendre une papote que j'ai eu avec une personne qui m'est trés précieuse, voilà le genre d'info, ou d'articles, qu'il faudrait plus souvent lire. Cela permettrait de laisser de côté cette grande idée en vogue qu'est la "fatalité", et qui répond à la délinquance, l'insécurité ...
http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20070827/tts-france-education-rapport-ca02f96_1.html
Il existait en effet des mesures d'encadrement "à la source", qui ont été détruites par une succession de gouvernement. Guerres d'opposition sur le principe du "détruire ce que l'autre à fait", et souci d'économie devant un gouffre budgétaire. Le second argument a alimenté l'acceptation de l'opinion souvent majoritaire, mais bien en dehors du terrain, sans pour autant qu'elle s'interesse malheureusement aux "nouvelles" dépendances de l'état ...
En effet, si le social a été "dénnoncé" et restreint, ces vases communiquant ont servi entre autre, à une politique de relance pétrolière, à une heure écologique assez catastrophique, à l'augmentation des salaires de nos gros et gras fonctionnaires députés, ministeriels, flics, à combler des "malgestions" d'énormes multinationnales trés proches du gouvernement. Ah bien entendu, le gouvernement a certes viré des budgets consacrés à l'école pour faire du sociel : par exemple, multiplier par 10 les indeminités chomage de nos député ... au hasard d'une vieille électorale ...
Il est intéressant de lire cet article jusqu'au bout ... fatalité ? Oui quand on connait le terrain et les conditions difficiles de travail des structures enseignantes, comme ces grandes tournantes de gens sans statuts en situation intérimaire, pourtant chargés du B/A BA de toutes réussites scolaires ...
Evoquer les "avantages" des fonctionnaires permet déjà de museler toute dénnonciation éventuelle de ce gâchi financier et humain ... D'ailleurs, notons que l'on ne parle JAMAIS des avantages des fonctionnaires de police ... pourtant sans équivalent ! Quant à ceux qui font de la politique, on est en plein règne monarchique !
! Le libéralisme implique une chance donné à chacun, et cela commence par l'école je crois. Le conservateurisme ne souhaite surtout pas cela, et encourage les fossés pour une division nationale ... contenter des gens "bien nés", culpabiliser les autres "en travaillant plus pour gagner plus", quand ces autres n'ont de salaire de base en france qu'une somme à peine au delà du seuil de pauvreté européen. Une honte nationnale que de se planquer derrière des discours libéraux, de la part d'un homme qui n'a jamais travailler de sa vie, de la part de cet homme qui n'a d'autre intérêt que ceux d'une poignée d'industriels qui lui ont assuré toute une vie "d'assisté".
Les restrictions sociales, surtout celles qui viennent de "la base" (éducation, encadrement médicaux psycho etc), ont permi principalement de diminuer les chances d'intégration, et de fabriquer des gens opposés qui ne pourront que se juger mutuellement, voire se détester. Cela marche à merveille : notre berlusco-bush peut satisfaire ses cousins, frère et offrir une carte bancaire à sa pouf directement branchée sur le ministère des finances. Notre représentant du peuple peut s'offrir à la vue de ces miliers de gens, dont l'espérance de vie est en moyenne de 39 ans dans la rue, des vacances de miliardaire "bien mérité" dit il, et faire la une des pages de Voici quand celui ci prend du gras chez son mentor Bush !