L'agriculture intensive : le plus grand crime contre l'humanité jamais organisé
http://fr.tv.yahoo.com/programme-tv/france-2/2008-08-24/13-30/
Vue du ciel : "Six milliards d'hommes à nourrir"
Longue émission sur France 2, dimanche aprés midi, heure de grande écoute : l'agriculture intensive, la faim dans le monde, les autres solutions, à qui profite tout ce fric, en puis aussi, édifiant, terrifiant, ce que nous avons dans nos champs, avec les témoignages de l'un de ceux qui ont démissionné de MONSANTO, monopole des OGM, roi de la semance, conflit d'intérêt politico-financier, et surtout, les mensonges et dangers des OGM passés sous silence, les bobards officiels lancés dans les médias, pour taire le danger. A l'instar de ce livre si plein de contre sens, d'immaturité et d'absurdités, "Nourrir l'humanité" de Bruno Parmentier, un documentaire sans compmlaisance, où les sources des chiffres sont citées, où les témoignages ont des visages. Une émission que voudrait voir s'éteindre le gouvernement, un gouvernement particulièrement menaçant pour France 3 et France 2. Annoncer de telles informations assure leur garantie, étant donné la direction que le gouvernement donne à sa politique agricole, ainsi que tous les conflicts d'intérêts existant entre membres du gouvernement, et ce monde morbide de l'agro alimentaire !
OGM : une des décisions qui aurait dû faire interdire la culture des OGM, c'est la mutation de la protéïne. Or, contrairement à ce qui avait été officiellement annoncé, la protéine a muté, tout comme le virus H5N1. Terrible mensonge quand on apprend que les scientifiques de MONSANTO s'en sont rendus compte avant sa commercialisation. La direction ne dit mot de leur rapport, les financiers prennent le pas sur la santé publique, serre la main du gouvernement, chacun prend sa part dans la ronde, et en route pour le carnage ... Une fausse déclaration a été faite à la populasse. De la même façon, la contamination n'a pas été observée à moins de 30 mètres, comme Monsanto l'a déclaré, mais à plus de 3 km ... Les chercheurs ont été prié de se taire, certains ont donc démissionné. Les agriculteurs qui sèment dans les champs ont parfaitement connaissance de ce à quoi ils participent. Ils serrent la main du gouvernement, vivent sur les fonds publics, prennet leur part dans le gâteau. Criminels, vénals ? Ou simplement, inconscients, irresponsables ?
Tenez, le saviez-vous ? Toutes les cultures céréalières de nos champrs sont destinées aux bestiaux ou pour les humains de l'étranger; ceux des pays sous développés ! Et oui, nos productions sont tellement de "mauvaises qualité" (citation), que la santé publique a estimé qu'il n'était pas tolérable de nourrir "si mal les gens en France" ... A titre d'exemple, si le pain était fabriqué à partir du blé de nos champs, nous serions tous diabétiques (diabète -> pancréas, foie, cellules dangeureuses dans notre organisme, cancers, entre autre ... ).
Ravage des champs, un échantillon dans un banal champ de maïs, une coupe de 60 cm -> sur la moitié, durcification du sol, totale disparition de la micro faune, dont les verres de terre, habitants anciennement majoritaires de cette épaisseur de sol. L'Inde, où les plaines de l'agriculture intensive ont été ravagées définitivement ... en 25 ans seulement ... paysages désolés, croutes de sel, mare anciennement lac, sans vie, sols noirs, plus une seule plante, plus un animal. Le suicide des agriculteurs, le combat d'un homme contre les pesticides qui ont ravagées sa région. A l'époque, les producteurs pensaient que les firmes connaissaient les dangers de leurs produits, comme le disent les agriculteurs véritablement faussement "ingénus" en France et ailleurs. Certes elles les connaisse, mais qu'importe ...
Les grands singes, privés d'habitations, dont on estime que certaines espèces n'existent plus à l'état sauvage, d'autres réduites de 50 %. Idem en France, avec 50 % des sols du territoire transmormés en champs. Le sanglier, le cerf, la biche, le lièvre... on estime que plus de 90 % de ces espèces sauvages ont été déssimées par l'agriculture intensive. Les animaux que vous voyez en dite "liberté", proviennent à 90% de la réintroduction. Mais paradoxalement, à côté de ces mesures, l'agriculture fait appel à la chasse, des espèces victimes de pièges, de maladies introduites, de la destruction de leur habitation et de leur nourriture. Pour le plaisir de tuer, et nom de la sauvegarde des espèces, leur réintroduction est nécessaire. Intégrée d'un côté, détruite de l'autre, l'agriculture intensive ne laisse pas d'alternative à ce crime.
La conclusion est dite à demi mot : l'agro alimentaire tire profit de la faim dans le monde en exportant en quantité titanesque des productions de sous qualité, détruisant les marchés locaux du restant du monde ! Le monde de la faim reste ainsi à la merci de notre agriculture, lachant le robinet de la nourriture, le fermant, mais affaiblissant par l'extrême sale bouffe les 3/4 de la population mondiale. Ecolos terroristes, je ne risque pas d'oublier le terme... Quand je pense au tolé hypocrite de ces soldats qui tuent sans état d'âme, "choqués" dans une sensibilité qu'ils n'ont plus, quand on parle de "camps concentrationnaires", une analogie avec ceux de la seconde guerre mondiale, mais à présent à propos de leur volaille ou cochon, .
En vrac : "l'agro-alimentaire tel que le pratique les Etats Unis et l'Europe est responsable en deux générations de plus de morts qu'à pu faire l'Indo - Chine, la guerre d'Algérie, la seconde Guerre mondiale et le Vietnam". Les répercutions sur la pollution de la planète, la disparition des espèces et la faim dans le monde, reste pour le lambda des supermarchés inimaginable. Un agriculteur aujourd'hui, produisant intensivement, peut être considéré comme une personne soit irresponsable devant l'humanité, soit devant sa tâche, et le plus souvent, c'est bien cette dernière irresponsabilité qui entraine la première. 50 % du territoire français représente des champs, ce qui fait que plus de la moitié du sol français appartient aux agriculteurs. Une honte ! Certains osent parler d'eux en employent le mot "paysan" : une injure à des générations d'hommes qui ont vécu humblement, avec un réel sens de l'effort et du travail.
Je rêve d'une planète à l'image de ce que font ces criminels de la terre : une planète où ils s'empoisoneraient entre eux, sans salir ni détruire ce que l'on a fait de plus beau depuis que le monde est monde, et sans doute avant : la vie. Si l'homme est la tique de la terre, je pense que certains ont une réelle place dans le cycle de la nature, celui de la vie, quand d'autres n'agissent qu'en parasites.
Je ne sais pas jusqu'où l'homme est prêt à aller pour sauver sa propre vie. Peut-être faudra t-il utiliser le même langage pour que cela cesse, la force, la violence, la force, imposer, contraindre : détruire ces infrastructures avant une pandémie, ravager les rayons de cette alimentation mutante, neutraliser les transports pour que cesse l'exploitation de la faim dans le monde... Je n'en sais rien, mais jusque là, quand un groupe d'hommes est prêt à "vendre" son prochain, le condamnant sans se salir les mains pour une poignée de billets, une résistance s'est toujours engagée, allant parfois jusqu'à la condamnation de ces hommes, pour crime contre l'humanité. Nous sommes exactement devant le même phénomène, les armes et les "collabos" ont simplement changé de visage ! La dimension du crime aussi, il ne s'agit plus de l'épicier qui reprend la boutique d'un juif aprés l'avoir dénnoncé, le condamnant à mort avec cette immense hypocisie de "l'innoncence" et "du système". L'empleur est tout autre, les hommes que l'agriculture intensive condamne, les espèces vivantes, se comptent par centaines de milions, par miliards !
Vue du ciel : "Six milliards d'hommes à nourrir"
Longue émission sur France 2, dimanche aprés midi, heure de grande écoute : l'agriculture intensive, la faim dans le monde, les autres solutions, à qui profite tout ce fric, en puis aussi, édifiant, terrifiant, ce que nous avons dans nos champs, avec les témoignages de l'un de ceux qui ont démissionné de MONSANTO, monopole des OGM, roi de la semance, conflit d'intérêt politico-financier, et surtout, les mensonges et dangers des OGM passés sous silence, les bobards officiels lancés dans les médias, pour taire le danger. A l'instar de ce livre si plein de contre sens, d'immaturité et d'absurdités, "Nourrir l'humanité" de Bruno Parmentier, un documentaire sans compmlaisance, où les sources des chiffres sont citées, où les témoignages ont des visages. Une émission que voudrait voir s'éteindre le gouvernement, un gouvernement particulièrement menaçant pour France 3 et France 2. Annoncer de telles informations assure leur garantie, étant donné la direction que le gouvernement donne à sa politique agricole, ainsi que tous les conflicts d'intérêts existant entre membres du gouvernement, et ce monde morbide de l'agro alimentaire !
OGM : une des décisions qui aurait dû faire interdire la culture des OGM, c'est la mutation de la protéïne. Or, contrairement à ce qui avait été officiellement annoncé, la protéine a muté, tout comme le virus H5N1. Terrible mensonge quand on apprend que les scientifiques de MONSANTO s'en sont rendus compte avant sa commercialisation. La direction ne dit mot de leur rapport, les financiers prennent le pas sur la santé publique, serre la main du gouvernement, chacun prend sa part dans la ronde, et en route pour le carnage ... Une fausse déclaration a été faite à la populasse. De la même façon, la contamination n'a pas été observée à moins de 30 mètres, comme Monsanto l'a déclaré, mais à plus de 3 km ... Les chercheurs ont été prié de se taire, certains ont donc démissionné. Les agriculteurs qui sèment dans les champs ont parfaitement connaissance de ce à quoi ils participent. Ils serrent la main du gouvernement, vivent sur les fonds publics, prennet leur part dans le gâteau. Criminels, vénals ? Ou simplement, inconscients, irresponsables ?
Tenez, le saviez-vous ? Toutes les cultures céréalières de nos champrs sont destinées aux bestiaux ou pour les humains de l'étranger; ceux des pays sous développés ! Et oui, nos productions sont tellement de "mauvaises qualité" (citation), que la santé publique a estimé qu'il n'était pas tolérable de nourrir "si mal les gens en France" ... A titre d'exemple, si le pain était fabriqué à partir du blé de nos champs, nous serions tous diabétiques (diabète -> pancréas, foie, cellules dangeureuses dans notre organisme, cancers, entre autre ... ).
Ravage des champs, un échantillon dans un banal champ de maïs, une coupe de 60 cm -> sur la moitié, durcification du sol, totale disparition de la micro faune, dont les verres de terre, habitants anciennement majoritaires de cette épaisseur de sol. L'Inde, où les plaines de l'agriculture intensive ont été ravagées définitivement ... en 25 ans seulement ... paysages désolés, croutes de sel, mare anciennement lac, sans vie, sols noirs, plus une seule plante, plus un animal. Le suicide des agriculteurs, le combat d'un homme contre les pesticides qui ont ravagées sa région. A l'époque, les producteurs pensaient que les firmes connaissaient les dangers de leurs produits, comme le disent les agriculteurs véritablement faussement "ingénus" en France et ailleurs. Certes elles les connaisse, mais qu'importe ...
Les grands singes, privés d'habitations, dont on estime que certaines espèces n'existent plus à l'état sauvage, d'autres réduites de 50 %. Idem en France, avec 50 % des sols du territoire transmormés en champs. Le sanglier, le cerf, la biche, le lièvre... on estime que plus de 90 % de ces espèces sauvages ont été déssimées par l'agriculture intensive. Les animaux que vous voyez en dite "liberté", proviennent à 90% de la réintroduction. Mais paradoxalement, à côté de ces mesures, l'agriculture fait appel à la chasse, des espèces victimes de pièges, de maladies introduites, de la destruction de leur habitation et de leur nourriture. Pour le plaisir de tuer, et nom de la sauvegarde des espèces, leur réintroduction est nécessaire. Intégrée d'un côté, détruite de l'autre, l'agriculture intensive ne laisse pas d'alternative à ce crime.
La conclusion est dite à demi mot : l'agro alimentaire tire profit de la faim dans le monde en exportant en quantité titanesque des productions de sous qualité, détruisant les marchés locaux du restant du monde ! Le monde de la faim reste ainsi à la merci de notre agriculture, lachant le robinet de la nourriture, le fermant, mais affaiblissant par l'extrême sale bouffe les 3/4 de la population mondiale. Ecolos terroristes, je ne risque pas d'oublier le terme... Quand je pense au tolé hypocrite de ces soldats qui tuent sans état d'âme, "choqués" dans une sensibilité qu'ils n'ont plus, quand on parle de "camps concentrationnaires", une analogie avec ceux de la seconde guerre mondiale, mais à présent à propos de leur volaille ou cochon, .
En vrac : "l'agro-alimentaire tel que le pratique les Etats Unis et l'Europe est responsable en deux générations de plus de morts qu'à pu faire l'Indo - Chine, la guerre d'Algérie, la seconde Guerre mondiale et le Vietnam". Les répercutions sur la pollution de la planète, la disparition des espèces et la faim dans le monde, reste pour le lambda des supermarchés inimaginable. Un agriculteur aujourd'hui, produisant intensivement, peut être considéré comme une personne soit irresponsable devant l'humanité, soit devant sa tâche, et le plus souvent, c'est bien cette dernière irresponsabilité qui entraine la première. 50 % du territoire français représente des champs, ce qui fait que plus de la moitié du sol français appartient aux agriculteurs. Une honte ! Certains osent parler d'eux en employent le mot "paysan" : une injure à des générations d'hommes qui ont vécu humblement, avec un réel sens de l'effort et du travail.
Je rêve d'une planète à l'image de ce que font ces criminels de la terre : une planète où ils s'empoisoneraient entre eux, sans salir ni détruire ce que l'on a fait de plus beau depuis que le monde est monde, et sans doute avant : la vie. Si l'homme est la tique de la terre, je pense que certains ont une réelle place dans le cycle de la nature, celui de la vie, quand d'autres n'agissent qu'en parasites.
Je ne sais pas jusqu'où l'homme est prêt à aller pour sauver sa propre vie. Peut-être faudra t-il utiliser le même langage pour que cela cesse, la force, la violence, la force, imposer, contraindre : détruire ces infrastructures avant une pandémie, ravager les rayons de cette alimentation mutante, neutraliser les transports pour que cesse l'exploitation de la faim dans le monde... Je n'en sais rien, mais jusque là, quand un groupe d'hommes est prêt à "vendre" son prochain, le condamnant sans se salir les mains pour une poignée de billets, une résistance s'est toujours engagée, allant parfois jusqu'à la condamnation de ces hommes, pour crime contre l'humanité. Nous sommes exactement devant le même phénomène, les armes et les "collabos" ont simplement changé de visage ! La dimension du crime aussi, il ne s'agit plus de l'épicier qui reprend la boutique d'un juif aprés l'avoir dénnoncé, le condamnant à mort avec cette immense hypocisie de "l'innoncence" et "du système". L'empleur est tout autre, les hommes que l'agriculture intensive condamne, les espèces vivantes, se comptent par centaines de milions, par miliards !